Prince Cuberdon

WEBDESIGN / PROGRAMMATION

Prince Cuberdon aime la précision, je vais donc faire un effort pour vous dresser son portrait si, du moins, il est possible de cerner ce personnage.

C'est un zèbre au sens 2 de la définition, synonymes 4 et 5 (Linternaute.com)

Enfant, déjà passionné de technologie, il cherchait à améliorer l'efficacité du lecteur cassette de sa soeur ainsi que celle de la radio de sa mère qui heureusement l'a stoppé avant qu'il ne s'attaque au poste de télévision.

Il s'est alors tourné vers la construction d'une fusée à partir de cartons-supports de sopalin, de charbon de bois et de souffre mais ne disposant pas d'assez de salpêtre il a dû abandonner…..

Fort heureusement, car il ne serait plus là pour nous régaler de ses créations actuelles.

Un peu beaucoup original, il invente sans le vouloir de nouveaux mots parce que ça sort tout seul, comme ça, son cortex en ayant déterminé la logique :

Par exemple "BONJOIR" : trop tard pour le bonjour mais trop tôt pour le bonsoir.

S'il a l'air absent, c'est qu'il l'est vraiment.

Il adhère autant à la science fiction et aux films de zombies qu'aux logiciels libres.

Il dit que le jour où il aura un maine coon il l'appellera Schrödinger.

Il espère un jour apprendre à faire du kitesurf.

Il aime faire des crêpes pour son quatre heure.

Ne lui demandez jamais à quoi il pense, vous ne sortiriez pas indemne de l'explication.

Il pond du code partout et tout le temps, il adore ça.

Je suis certaine que son cerveau n'est pas à la température standard…

J'ai cherché des infos sur Internet pour le prouver mais je tombe sur des sujets qui donnent la migraine à toute personne normalement constituée mais que Prince Cuberdon affectionne car ce genre d'étude titille son imagination de programmeur baignant jusqu'au cou dans les algorithmes.

Je cite : " Mesure du profil de température en profondeur d'objet biologique d'après leur radio-émission thermique intrinsèque"

Là déjà, personnellement, je lâche… mais aujourd'hui j'ai mangé du poisson et donc grâce au phosphore ingurgité je me sens exceptionnellement capable de poursuivre un peu.

Je m'attaque à l'explication du titre précédemment cité : "Elaboration et vérification d'un procédé de détermination du profil de température du cerveau humain à partir des mesures de la température de surface et de la température de brillance à la longueur d'onde 32 micro-mètre"

Patatras ! Tous les effets bénéfiques de mon poisson phosphoré viennent de passer la barrière négative.

Tant pis il faudra que vous me croyiez sur parole, son cerveau bouillonne.....

Et point barre !